Question inépuisable : qu'y a t-il après la mort ? Le paradis, l'enfer, la réincarnation, le vide, une autre vie ? Pourquoi l'homme est-il si désemparé face à la mort ? Pourquoi la finitude humaine l'effraie-t-elle tant ?

L'expédition du dépassement.
Sur les traces de Shackelton et de l'Endurance (1915), naufragé en Antarctique, qui fera la traversée vers la Géorgie du sud sur un canot, pour revenir secourir tous les membres de l'équipage...
C'est ce parcours qu'ont choisi une équipe de mal-entendants, pour faire valoir leur droit à être écoutés ... et compris.

Le voilier Tara, goëlette à mats égaux
en aluminium de 36 mètres :


Dimanche 28 novembre 2004 :
perdus sur la banquise de Géorgie du Sud.


Et "Les montagnes du silence"
en langage des signes :


Site à visiter absolument par tous ceux que l'héroïsme (c'est-à-dire le dépassement) ne laisse pas indifférents.

Et à toute l'équipe de LMDS,
la séance photo dédicacée :
(pour la postérité)


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le 2/11/2008 à 9:07



Tara sur la Seine, au retour de son hiver 2008 passé sur (et dans) les glaces de l'arctique.

Au travers de ... moi.

suite (et fin?)

Il n'y aurait que les montagnes qui ne se rencontrent pas.

Rappel : Tara, appelé à l'origine Antartica, est un voilier en aluminium de 36 mètres par 10 mètres de large, avec une carène de voilier pur mais conçue aussi pour résister à la pression des glaces.
Un bien beau projet conçu par Jean-Louis Etienne, l'explorateur français, qui en 1989, a fait construire ce bateau en région parisienne au chantier SFCN à Villeneuve-la-garenne, suivant les plans de Luc Bouvet et Olivier Petit.

Puis Antartica sera vendu à Sir Francis Blake en 1999 (qui fût tué sur le pont de son bateau par des pirates sur le fleuve Amazone), qu'il renomme "seamaster".

Puis sous le nom de Tara, ce magnifique voilier 'maxi' moderne continuera ses multiples exploits qu'il ne faut pas manquer de rappeler.