Inauguration de la place de la liberté

et de l'existencialisme

Paris, mai 2003.
(un évènement tellement insignifiant au cœur de la ville ... )


Aujourd'hui, fêtons la liberté, le dialogue, le droit d'exister.


Faisons l'effort de nous libérer de la routine, de notre aliénation quotidienne,

de nos blocages, de nos préjugés,....


Lâchons-nous ! (raisonnablement).


N'abandonnons pas notre droit d'exister !







Comment marcher si longtemps dans la ville, sans qu'il ne s'y passe jamais rien de réjouissant, jamais rien d'heureux ?...



L'indifférence nous fait beaucoup de mal, à la longue.



N'attendons pas tout de la société telle qu'elle fonctionne actuellement.



Et si c'était la société qui attendait de chacun de nous ?



Aucun homme ne naît pour subir le monde mais pour le créer.





(dessin de Éric Poindé)



Pourtant nous savons que nous avons besoin d'espaces de liberté et de créativité, comme l'oxygène qu'on respire...





Le moyen d'y faire face, c'est de s'auto-responsabiliser en organisant quelques évènements sur l'Agora parisienne.








Communiquer vraiment est-ce possible ?



Pourquoi se laisser aller à ne pas être heureux ?



Alors les gens s'arrêtent...







et on partage un moment de communication créative.







Pour vivre quelque chose ensembles...



avec ces enfants à la sortie de l'école ....







et ces mamans, bien souvent mères-célibataires, isolées dans la ville, qui auraient tant besoin de réconfort ....







En toute simplicité, comme les enfants savent le faire ....







La fête du dialogue et de l'expression populaire retrouvée.



Pourquoi notre société occidentale "civilisée" ne nous le permettrait pas ?



Et nous, adultes, un peu d'audace !



Retrouvons le sens des libertés publiques...





Messieurs les gouvernants de ce monde:
Quand une bombe explose quelque part,
Il n'y a pas que des morts...
Ce sont des milliers de cœurs qui sont en berne,
des milliers de paires d'yeux qui perdent leur éclat.
Avez-vous déjà "calculé", avec vos experts qui savent tout,
le nombre d'années qu'il faudra pour faire (re)naître une étincelle de joie,
au fond d'un cœur,
au fond d'un regard...




Oui, nous le répétons ici : aucun homme ne naît pour subir le monde mais pour le créer.


N'attendons pas tout de la société telle qu'elle fonctionne actuellement.


Et si c'était la société qui attendait de chacun de nous ?


Paris, mai 2003.
(un évènement tellement insignifiant au cœur de la ville ... )


( texte réactualisé le 26/11/2006 pour raison de bug informatique )