Début octobre 2008, nous avions été choqués d'apprendre aux informations qu'un jeune agriculteur de la Creuse, originaire des Hautes-Alpes, avait été agréssé à plusieurs reprises, et son exploitation vandalisée et incendiée.
Son seul tord était d'avoir réussi avec sa petite exploitation avec laquelle il avait démarré, et qu'il souhaitait se développer.
Nous avions souhaité lui manifesté notre soutien.
Une lettre collective de soutien est en cours. Le nom de la commune est recherché.

Nous apprenons que le jeune agriculteur est Jean-Hugues Bourgeois installé récemment dans les Combrailles auvergnates (limitrophes de la Creuse), commune de Teilhet(63560) dans le Puy-de-dôme.

Malgré les soutiens nombreux, Jean-Hugues Bourgeois et sa famille, devant les menaces toujours plus odieuses et les actes criminels, préfèrent quitter le village.

Le chevrier du Teilhet quitte le village
France 3 Auvergne
le 02/12/2008 | 09:58
(avec vidéos)
http://rhone-alpes-auvergne.france3.fr/info/49194057-fr.php

En savoir plus sur cette affaire avec l'article du Figaro du 4/9/2008:
Les malheurs auvergnats d'un jeune éleveur bio
«Tout s'est gâté lorsqu'un agriculteur de Theilet avec qui j'avais sympathisé a proposé de me louer 50 hectares de très bonnes terres», avance Jean-Hugues Bourgeois.
Lire l'article :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/09/04/01016-20080904ARTFIG00017-les-malheurs-auvergnats-d-un-jeune-eleveur-bio-.php

Comités de soutien au jeune agriculteur, à sa famille et à Michel Message, l'agriculteur à la retraite menacé de mort pour avoir loué ses terres:

Sur la commune du Teilhet :
Association Jean-Hugues Le Chevrier.
Adresse postale : La Boge
63560 TEILHET
http://www.cda-blog-asso.com/jeanhugueslechevrier

La Confédération paysanne du Puy-de-Dôme lance un appel aux dons pour du foin et des céréales bio pour les troupeaux de Jean-Hugues.
Pour tout don (en nature ou en espèce), merci d’écrire à Solidarité Jean-Hugues, Maison des paysans,
BP 112, Marmilhat, 63370 Lempdes
Chèques à l’ordre de Jean-Hugues Bourgeois.

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La question a se poser : Comment se fait-il que de tels odieux voyous criminels d'un village de 350 habitants restent, trois mois après les faits, impunis ?